Veuillez nous excuser pour cette interruption momentanée de nos programmes…

mire

Mais c’est pour plein de bonnes raisons!

Non, on n’a pas emménagé dans une grande villa en Patagonie, je n’ai pas accouché de quadruplés en avril, cela va bientôt faire 6 mois qu’on ne nous a pas coupé l’électricité, et nous n’avons pas été cambriolés.

Par contre, non, l’Espagne n’est pas passée aux 35 heures. Le printemps attire toujours nombre de touristes sous le ciel de Séville et nous leur faisons honneur. Nous avons aussi été forcés (entendez par là obligés, sous le menace) de partir quelques jours fêter mes 27 balais dans le parc naturel de Cabo de Gata (près d’Almería… souvenirs souvenirs… on devient gâteux à c’t’âge) – photos de la flore et la faune suivront si Alzheimer ne s’en mêle pas.

Nous avons dû nous mêler ces derniers mois à la population locale, nous goinfrant de tapas, salchichón de la abuela, ingurgitant des litres de bière, tinto de verano, clara con limón (para las más mariquitas, tsss)… l’insertion sociale a un prix, que voulez-vous! Je me suis même retrouvée un midi à faire la sortie des classes pour passer le début de l’après-midi avec Lola, la pitchounette du patron (et collègue) de Marcus, Lola qui adore torturer câliner nos « ratas » poilues. Les dimanches, nous avons même été contraints et forcés plusieurs fois de faire la sieste à l’ombre dans le parc de l’Alamillo, pour rattraper 1 an de retard de lecture. Et puis les concerts, les festivals, les sorties (plus ou moins) culturelles qu’on a pu faire ces derniers temps, c’est impressionnant. Surtout ne venez pas vivre à Séville, c’est mettre le doigt dans un engrenage très dangereux…

Sans compter le WE passé, où nos derniers invités en date nous ont, une fois de plus, contraints et forcés (ce qu’on est conciliants!) à les rejoindre à la plage, près de Cádiz, pour échapper à la chaleur sévillane. C’était sans compter que nous en repartirions aussi guillerets que gastro-entérités, tous deux. Qu’à cela ne tienne, l’ingéniosité du bidet placé face à la cuvette nous est enfin apparue dans toute sa puissance lors de cette expérience, et maintenant que nous sommes guéris (ou presque), nous en rigolons (ou presque).

Nous avons aussi passé beaucoup de temps à planifier nos vacances au Maroc, prévues pour la première quinzaine de juillet… premières vacances « organisées », rando muletière en groupe dans l’Atlas, wow! Voyage qui a été annulé (pour groupe de deux insuffisant, nous voilà victimes indirectes de la crise), puis « attendez, on va tenter aut’ chose », puis reannulé, mais « peut-être qu’en essayant comme ça… ah ben non, désolé ». Bref, vacances annulées, nomdidjû, ça prend du temps aussi d’annuler, désannuler, changer les avions de date, les trains, commander un Routard Marrakech sur le net et le recevoir…

Et puis les élections! Parce que ça a voté par ici, et oui… pour les Européennes en tous cas. Les élections ET la déclaration d’impôts locale, n’imaginez pas qu’on allait vous épargner les sujets barbants de l’expat en puissance qui ne sait plus comment il s’appelle quand il change de pays et de coutumes!

Bon, je ne vous avais pas menti, on n’a que des bonnes raisons pour s’être faits discrets ces dernières semaines! Et puis comme il fait pour le moment 50º à l’ombre, qu’on n’ose pas ouvrir la bouche sous peine de se cramer les poumons, te temps était plus tôt à la langueur…

Mais au nom des hommes femmes de bonne volonté, je jure sur la tête de Kurtouille et Rogerounette de rattraper tout ce retard! Bientôt, sur nos ondes, en exclusivité, et dans le désordre le plus complet:

  • le billet des touristes du mois d’avril – les géos. Billet aux morceaux de (coups de) soleil garanti! Bonus track: une explication de Sté pour gagner sans peine à Perudo en comptant sur ses doigts.
  • les photos de canard du jardin de l’Alcázar (vous n’y couperez pas)
  • présentation de la flore et la faune désertique de Cabo de Gata (en musique)
  • nos dernières découvertes musicales et festivalières (avec des images si on trouve)
  • une copie de notre déclaration d’impôts un billet qui raconte comment remplir sa déclaration d’impôts, et surtout comment la faire remplir et se contenter de signer et récupérer le pactole.
  • Comment voter aux Européennes. Comment faire son choix dans 30 listes aussi éclairantes qu’une luciole pour retrouver sa lentille tombée dans la forêt une nuit sans lune.
  • Pour les miss bobonnes qui partagent avec moi l’amour du pain frais, du sirop de menthe ou citron macéré-cuisine, des confiotes maison, des vieux t-shirts pas récupérables mais récupérés quand même pour en faire des oeuvres d’art (presque) potables, une session spéciale « Ce que tata Mallo fait avec ses mains pleines de doigts »
  • un grand concours avec comme gros lot une rondelle de salchichón de la abuela*, ne le ratez surtout pas!

*aux vrais morceau d’abuela*

*et pour ceux qui ne savent pas ce que c’est qu’une abuela, et qui n’ont pas compris une partie de ce billet à cause des hispanités, espagnolophones je vous conseille grandement ce magnifique traducteur automatique (les autres, rompus à la traduction ou a l’espagnol  pourront eux aussi profiter des enseignements prodigués, c’est Google, c’est gratuit).

Mes aïeux, si vous avez pu arriver au bout de ce billet, c’est que nous aussi on peut le faire, on arrivera à refaire notre retard! rendez-vous sur la ligne d’arrivée!

Ze Circus Marcus Studio© à Séville…

C’est en zigzagant au mieux entre nos différentes obligations ministérielles du mois (promenades dans les dunes, accueil de réfugiés belges, processions saintes encapuchonnées, etc.) que nous avons le plaisir de vous faire part de l’ouverture en nos locaux à Séville, d’un tout nouveau studio High Tech d’enregistrement musical pour les oreilles.

Ze Circus Marcus Studio© fait partie de la génération ultime de ces studios que les plus grands producteurs et labels s’arrachent. Matériel High Technology®, enregistrement de sons, bruits et notes, raccord possible avec un (faux) piano (vraiment) électronique pour les musiciens les plus audacieux.

Ze Circus Marcus Studio© est particulièrement fier et heureux d’avoir accueilli en son sein le célébrissime Circus Marcus lors de l’enregistrement de son dernier opus (à sortir prochainement, sur un vrai CD pas en bois, avec une vraie pochette pas en papier et un vrai Directeur Artistique pas en carton).

Nous en avons profité pour jouer les filles de l’air paparazzi et prendre quelques photos-souvenir de ces moments mémorables, forts, émouvants et Technologiques®:

Nos locaux

Nos locaux

Matériel High Tecnology®

Matériel High Tecnology®

Procédé d'isolation dernier cri

Procédé d'isolation dernier cri

Pour les incultes ou ceux qui ont passé les 26 derniers mois dans une grotte du Larzac, venez découvrir les plus grands succès de Circus Marcus!

Pour les fans, le nouvel album est en cours d’enregistrement et sera prêt pour l’été 2009… Vous pouvez déjà réserver votre CD aux vrais morceaux de professionnalisme par mail à marc@circusmarcus.net. Dépêchez-vous, il n’y aura que 125.000 exemplaires pressés! (ou presque)

Swap de voyage ?

Depuis plus de 2 mois, toute la blogoboule – littéraire – ne parlait plus que de ça: le swap « Invitation au voyage » du Bookomaton était lancé; il devait donc fatalement arriver à son apogée, fanfares et cotillons.

Pour maintenir un peu le suspense et aider la plupart d’entre vous à comprendre de quoi il s’agit, petite visite guidée de ce qu’on finit par apprendre quand on tient on blog…

[Intermède culturel non sponsorisé]

« Dis-moi Tata Mallo, c’est quoi la blogoboule? »
La blogoboule – blogosphère aussi, qu’on dit, mais ça manque un peu de relief, ou blogoglobe, mais c’est imprononçable – est une sorte de mafia spécialisée qui sévit sur le web 2.0, armée de blogs colorés aux vrais morceaux de mots.
Prenons quelques exemples de blogoboules connues: la blogoboule « tricot et crochet » qui s’échange des patrons et des photos d' »écharpes-nouilles », ou encore la blogoboule littéraire, dont les membres écrivent des chroniques des livres lus et viennent piquer chez les autres les bonnes idées de lecture.

« Mais alors, Tata Mallo, le Bookomaton, là, c’est un membre de la mafia? »
Ouh ouiiii. De la mafia littéraire, justement. Un membre de la pire espèce, de ceux dont les chroniques donnent envie de lire les 6 derniers bouquins lus cette dernière quinzaine, alors qu’on peine à finir Tartarin de Tarascon qu’on a commencé le mois dernier… une machine de guerre, vous dis-je!

« Bon, et ton swap, là, Tata Mallo, ça veut dire quoi au juste? C’est une réunion de mafieux? »
Presque. Parce que comme la blogoboule ne s’encombre pas de frontières, il est très difficile de trouver des rendez-vous qui arrangent tout le monde (« pas le lundi, j’ai claquettes », « pas ces 3 prochains mois, y’a des grèves en France », « J’habite pas le même fuseau horaire », etc.) Il est donc de tradition de s’échanger des paquets, en comptant sur les jours où la Poste ne fait pas grève! Et comme un paquet, c’est bien, mais qu’un paquet rempli, c’est mieux, le mafieux qui lance le rendez-vous (ou le bloggueur qui lance le swap, si vous préférez) trouve un thème commun et décide du contenu du paquet… à ses acolytes de le suivre!

[fin de l’intermède culturel. Oncle Paul, sors de ce corps, te dis-je!]

Brèfle, c’est Carinette la Booko-matonne qui a eu l’idée nous faire tous voyager dans des conditions de rêve. Un livre, un disque, une senteur, une douceur à envoyer à un mafieux, alors qu’un autre nous envoie la même chose. Des chaises musicales, avec suffisamment de chaises, quoi.

Résultats des courses: après avoir envoyé mon colis à Pascale, sur le thème du « En Irlande comme en Espagne, on est tous un peu celtes », j’ai eu la grande chance de recevoir mon ticket d’avion d’Orchidée!

Du coup, je pars au Cap Vert, oui oui
On part au Cap Vert!

Un jouli calendrier pour être sûr de ne pas rater la date de départ, des biscuits-coco maison (!!!) pour les petits creux dans l’avion, du bon thé du jardin du Trocadéro et aux Fruits des Iles pour embaumer les bagages, l’escale-marque-ta-pach’ en direct de Berlin, pour ne pas se perdre dans « Un domaine au Cap-Vert » de Teixeira de Sousa, de la bonne musique cap-verdienne pour prolonger le voyage de retour à la maison…

Bon voyage!

J’en connais une qui va envier ma destination et à qui je dis d’avance : « Si tu veux lire MON livre et écouter MES cédés (pour les biscuits ce sera trop tard), t’as qu’à le faire dans MON chez-nous, na! »

Dus, Miss Orchidée, un énorme grand gigantesque merci à toi de me faire découvrir le Cap Vert, je ne manquerai pas de te donner des nouvelles dès mon atterrissage… si jamais j’atterris un jour!

Et merci ma Carinette de m’avoir adoptée dans votre famille de mafieux littéreux!

Ce que vous n’auriez jamais pu (dû) savoir… saison 3!

Vous l’attendiez tous… voici la suite trépidante de ce que vous n’auriez jamais espéré savoir un jour sur Séville!

  • A Séville, les travaux au marteau-piqueur se font la nuit ou vers 5 heures du matin le dimanche, pour minimiser les nuisances à la circulation. Les travaux au marteau-piqueur se font également dans notre rue, sous la fenêtre.
  • A l’heure actuelle sévit dans le centre de Séville un dénommé Marco, alias Kalvin Klown. Il mérite à lui seul le voyage:

  • Il se pourrait bien  qu’ici, les compteurs d’électricités soient relevés 2 fois par an: fin décembre et fin janvier. A moins qu’on ne vienne encore pour nous couper l’électricité? Suspense… et réponse dans quelques jours!
  • En Espagne, il est de tradition de recevoir à Noël, de son entreprise bien-aimée, ce qu’on a coutume d’appeler la « cesta de Navidad », qui est un panier de douceurs à boire, à manger, à garder jalousement sous le coude pour après les fêtes. La « cesta de Navidad » fonctionne sur le même système que Saint Nicolas et Père Fouettard: elle ressemble à ça si on a été sage:

Cesta de Marc

ou alors à ça :

Cesta de Mallo

  • A Séville, pour sortir de la ville et approcher la campagne avoisinante (ou le Décathlon), il faut traverser une première fois le Guadalquivir, puis une deuxième fois 500 mètres plus loin. Ce n’est pourtant pas le fleuve qui fait demi-tour dans un méandre serré, c’est juste que….

ATTENTION DAMES EN HEREN, MESDAMES ET MESSIEURS, LADIZ AND GENTLEMEN, SEÑORAS Y SEÑORES:

Le grand jeu-concours qui se déroule maintenant sous vos yeux permettra à un unique grand gagnant de remporter un bon litre d’eau du Guadalquivir*

*plancton inclus

N’hésitez pas et tentez votre chance en répondant gratuitement à la question ci-dessous:

(La réponse et le nom de l’heureux gagnant seront annoncés un jour, si on n’oublie pas)

C’est Nowël ! (ou pas loin…)

Et oui, à peine rentrés de vacances (quelles vacances?) et déjà Nowël sonne à notre porte… « Allez zeg, et Saint-Nicolas, alors? ». On n’oublie pas le grand saint, mais entre le 6 décembre décrété jour férié pour cause de « Constitution » et le manque cruel de cheminées, il faut remettre à un peu plus tard la venue du vieux gentil monsieur et de compère-fessée.

En attendant le 6 janvier, où ils ne sont pas 2, mais 3 (les Rois Mages) à rendre visite aux enfants, il nous reste la perspective de Nowël. Alors, c’est comment Nowël à Séville? Très différent de Nowël à Almería , puisque si notre mémoire ne nous fait pas défaut, nous avions mangé notre « pizza de Nowël » sur la plage, et digéré en faisant une petite partie de pétanque-sur-sable (il me semble bien que le lancer de bûche a eu lieu le lendemain ou surlendemain).

Mis à part ce détail festif et culinaire, c’est bien la même ambiance que nous retrouvons ici à Séville: les décorations de palmiers, les vendeurs de châtaignes qui enfument les rues, les crèches qui sont la vitrine du bon goût artisanal andalou.

Des photos? Ça tombe bien, nous avons sorti hier l’attirail du parfait touriste pour vous donner envie…

A Séville (et dans toute l’Espagne d’ailleurs), pas de Nowël sans crèche! C’est l’attraction principale, qui réunit très kistch et kitsch tout court, et rassemble des générations entières de grands-parents et petits-enfants émerveillés: « Mamy, y sont où les poissons? ». Les banques investissent votre argent pour vous faire profiter d’une mise en scène plus grandiose chaque année, et surtout plus grandiose que la banque d’à côté (et je peux vous dire qu’il y en a des banques, par ici!).

Bref, il est parfois plus sage de se contenter d’un aperçu de la petite crèche organisée par la municipalité, où il ne faut pas faire la queue pour voir l’enfant Zésus.
Parfois, comme c’est le cas ici, on se rend compte que quel que soit l’angle de prise de vue, le cher ange dans son couffin est toujours caché par une colonne. L’an prochain, je demande à ma banque d’investir dans une crèche d’où on arrive à le voir, na!

On vous parlait des fameux poissons, les voilà!

Un peu plus loin, sur une place à l’arrière de l’hôtel de ville, c’est la grande enfilade de stands d’artisans-créchiers. En vue d’ensemble, ça donne ça:
Et de près, mes aïeux! ça donne à peu près ça:
Un peu fouillis, peut-être? Et je soupçonne de moulin à vent d’être une intrusion Don Quichotesque bien espagnole, comme on mettrait volontiers un cornet de frites dans les mains du divin enfant…

Et si on regarde de beaucoup plus près, on s’aperçoit qu’on peut finalement faire des crèches plutôt originales, si on prend la peine de bien choisir ses personnages…

Bon, ce serait très réducteur de ne parler que des crèches, bien qu’elles soient omniprésentes dans le paysage de saison. On a aussi droit, depuis l’arrivée du froid (début novembre – on entend par « arrivée du froid » les premières journée où le mercure descend sous les 20º), aux nombreux marchands ambulants qui enfument les rues de la ville sous le prétexte vaseux de vendre des châtaignes. Je n’aime pas les châtaignes, mais j’aime leur bric-à brac…

C’est fou les différences culturelles qu’il peut y avoir à 2000km de distance! Alors que vous êtes tous en train d’accrocher votre « Père Nowël escaladeur » au balcon (vous rêviez d’un Saint Nicolas, mais tout le monde sait qu’une fois les premiers remontants pris, Saint Nicolas ne grimpe plus pour passer par la cheminée mais prend l’ascenseur comme tout le monde), nous avons ici la version toute locale: les « Rois Mages escaladeurs », qui un mois avant la date fatidique de remise des cadeaux, s’entrainent déjà vaillamment.

Et que serait Nowël sans les décorations lumineuses des rues commerçantes et des bâtiments de la ville! Que tous les spécialistes belges en prennent de la graine (je pense à quelqu’un en particulier), personne n’est aussi fort que les Sévillans pour allier sobriété et tradition…

Pas beaucoup de sapins par ici pour accrocher les loupiotes, mais on fait avec ce qu’on a et ça donne un cachet tout particulier:

Sans compter l’hôtel de ville, qui met son habit de lumière comme pour sortir en boîte (oui, sobritété et tradition, mais modernité et « ça pique aux yeux » parfois aussi)

Et enfin, l’invité culturel de Nowël (je n’allais pas passer sa venue sous silence): Monsieur Rodin, le sculpteur, qui est venu nous présenter ses toutes dernières œuvres, exposées sur la Plaza Nueva jusqu’à nouvel ordre, son fameux « Penseur » (-« El pensador »-) étant particulièrement mis en valeur à l’entrée de la dernière boite de nuit à la mode…

Enfin, nous avons eu la confirmation de la bouche même de son auteur, sic – « Le penseur n’est pas forcément ce qu’il donne l’impression de représenter« … ah bon, je le trouvais plutôt représentatif de son domaine d’activité, pourtant…

Amis de la culture, amis tout court, le voyage de Nowël à travers la culture s’achève ici. Nous vous remercions de votre attention toute concentrée sur les mots et les images et espérons que cette visite guidée vous donnera envie de voir tout ça de près une année ou l’autre.
Avertissement: nous sommes complets pour Nowël 2008 – un Nowël en famille avec nos petits parents que nous attendons de pied ferme…
Avertissement bis: il semble couramment admis ici que les petits hôtels familiaux ferment leurs porte la nuit du réveillon de Nowël, ce qui est forcément très pratique lorsqu’on réserve la semaine du 22 au 29. Ils sont fous ces Sévillans!