Puisque le vendredi est depuis toujours le « jour du poisson » mais que personne n’a encore pensé à définir un « jour du cobaye », je décrète officiellement que ce sera le samedi! Et comme, ô hasard, nous sommes samedi, il est normal qu’on vous parle aujourd’hui de notre kilo de cobayes.
Ceux qui ont suivi les épisodes nº1 et 2 savent que Roger, notre petite femelle au doux nom si évocateur, est arrivée en septembre et se porte comme un charme… oui mais bon, de là à dépasser le kilo, déjà si vite? Que nenni! C’est uniquement grâce à l’aide de sa nouvelle copine, Kurt Cobaye, qu’on arrive à ce poids-là.
Kurt Cobaye? Ben oui, Kurt Cobaye à la longue chevelure, comme son (presque) homonyme:
Alors, c’est vrai, vous me ferez remarquer que, question coiffure, on hésite un peu entre une punk et Mamy Jocelyne qui vient de refraîchir sa mini-vague. Ne vous y trompez pas… chez nos bêtes à poils, le rôle de la mémère est sans conteste tenu par Roger! C’est bien elle le chef, qui dicte sa loi et se dandine comme un mafioso pour en imposer… Impressionnant, non?
Des questions? Oui? Aaaah, « est-ce qu’elles s’entendent bien, quand même? », bonne question! Je crois bien que dès leur première rencontre, ça a été le coup de foudre… pour un morceau de chicon en tous cas. Retour sur images, comme à la télé:
Et puisque tout est bien qui finit bien, on aime parfois piquer un petit roupillon l’une contre l’autre, n’est-ce pas? (J’ai la secrète intuition que c’est dans le but d’être « tromimititebouletteàsamômam » et de finir par avoir leur portait en grand sur le blog, m’enfin, si ça peut leur faire plaisir après tout…)
« Ooooooh, elles sont à croquer! » Halte-là… on ne croque pas dans ces boulettes-là (elles n’ont pas encore atteint le poids idéal).
Pour ceux qui jusqu’à présent rechignaient à venir nous voir, parce que « pas assez de bonnes raisons », et qui viendraient subitement de changer d’avis, pour un kilo et une raouette de bonnes raisons, nous organiserons des périodes de cobayes-sitting quand nous devrons partir en vacances, sans les emmener.
Voilà le deal, le principe est simple: on vous prête notre chez-nous pendant notre absence. Vous pourrez donc profiter de notre climat au soleil généreux (tinto de veranooooo!), des visites culturelles de notre belle ville (tapaaaaas!), des promenades au bord du fleuve (flamenco, olé), sans compter les moment privilégiés avec les bêtes à poils: les repas…
le bain (décrassage régulier des poils quand on se rend compte que Kurt devient d’un gris uniforme)…
et les sorties-sport, parce que c’est rigolo de jouer aux aventuriers…. (2 minutes, avant de retourner faire dodo)
(On ne vous parle pas du nettoyage de la cage, on ne va pas se fâcher déjà, n’est-ce pas?)
Alors, ce kilo de cobayes, appétissant, non?